La réponse est dans la question ...Oui bien sûr chacun peut s’épanouir financièrement et
personnellement en tant qu’intermédiaire en assurances s’il a la ferme volonté
de changement ou d’amélioration de son état
d’esprit …
A la décharge des services administratifs dédiés
à l’emploi, les notions d'audace ou d’entreprise individuelle, ne sont toujours
pas au programme scolaire en France, mais est-ce une raison de systématiquement
« passer à l’étamine » les propositions d’emplois qui ne sont pas de
leurs avis « politiquement correcte » (cdi ou cdd ).
En France, nous regorgeons de fonctionnaires, de
gestionnaires, de techniciens de tout poil et nous manquons cruellement de gens
déterminés pour diffuser les produits et services des entreprises. Pourtant une
entreprise n'existe que parce qu'elle vend .
Face à cet immobilisme, partant du postulat que tout travail qui n’est pas un CDI avec
horaire fixe et salaire garanti à la fin du mois est un travail précaire, on a
besoin de partenaires dynamiques pour briser cette routine, faire évoluer
l’économie, vendre et promouvoir l’entreprise.
Cet esprit « fonctionnaire » est un
désastre en rejetant toute forme de rémunération au mérite ou à la réussite. Qu’importent les résultats et les performances…
Il y a bientôt 30 ans j’ai compris que pour
doubler mon salaire justement de fonctionnaire, il était difficile de trouver un travail rémunérateur,
intéressant et surtout acquérir l’indépendance financière et, que pour évoluer socialement ,
sans étude supérieure et sans don particulier, il me fallait « avoir
quelque chose à vendre »…
Pour m’a part j’ai trouvé une planche de salut en
tant qu’indépendant dans l’intermédiation
en assurance et plus précisément dans l’assurance de personnes qui est aux
dires des experts la meilleure « école de vente »
Le conseiller en assurance (courtier, agent
général, mandataire), est un partenaire de réflexion pour son client, il est son
porte-parole, pour lui la satisfaction du consommateur est la finalité de son
travail. Bien qu’aujourd’hui certaines entreprises d’assurance perdent de vue cette notion essentielle.
S’il y a encore quelque temps l’activité de
l’intermédiaire était subi plus que
maîtrisé, aujourd’hui la professionnalisation
renforcée des intermédiaires par une formation permanente, par une qualité de
services opérationnelle permet une maîtrise
performante de l’activité du conseiller.
La simplification des processus, l’actualisation des
systèmes d’information, la mutualisation des moyens, le recours plus
systématique à la sous-traitance pour préparer la prospection et gérer les
contrats permettent à l’intermédiaire d’assurance de sortir de la navigation à
vue et placent les nouveaux venus dans des conditions optimum de succès.
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